Déjà au 19e siècle des savants médecins avaient mis en évidence les heureux effets des métaux dans le traitement des maladies, soit en applications externes, soit en usages internes (poudres, pilules, etc.). La bague Louis Cochet fait partie d’un de ces mystères qui subsistent toujours depuis 3 générations. Elle est née d’une rencontre d’un brave paysan sarthois (Louis Cochet) maréchal-ferrant de son état avec un gitan de passage. Un échange de bons procédés et le père Cochet récupère « une bague aux pouvoirs guérisseurs quasi surnaturels » foi de gitan. Ainsi est née cette bague dont les vertus allaient bientôt dépasser les frontières du département. Ses propriétés s’avérèrent soulager toutes sortes de maux : hémorroïdes, varices, crampes, eczémas, maladies du foie, ulcères variqueux… Les médias* s’emparèrent rapidement de cette affaire, croyant à une mystification… Mais très vite, après les essais d’usage, les commentaires dépassèrent et de loin la meilleure des publicités : « La bague Cochet : ça marche… » ; « Nous pouvons en témoigner, la bague Cochet est réellement efficace…».
Et voilà comment, sans aucune publicité tapageuse, juste par le bouche à oreille cette bague fameuse a déjà soulagé des milliers de personnes. Les témoignages nombreux pourraient faire l’objet d’un ouvrage, ils vont du curé de campagne au médecin de ville…
* Les médias concernés à l’époque étaient entre autres : Ouest France et la revue La Vie Claire.